Une suite orchestrale destinée à accompagner une dégustation de chocolats, un concerto telle une trame sonore pour une partie d’échecs, une histoire de pêche mimée par un clarinettiste costumé, un opéra cabaret basé sur des bandes dessinées, un « crowd game » pour ballon de plage et orchestre, un concerto pour sons 8-bit, une danse aérobique symphonique, un mashup de 35 hymnes nationaux… Par l’originalité de ses concepts et par son langage musical communicatif, le compositeur montréalais Maxime Goulet rejoint un public de tout horizon, allant du public jeunesse au mélomane averti. Sa musique est écrite dans un style tonal contemporain et a été décrite comme étant « habile, immédiatement plaisante et très cinématographique », « mélodique et narrative », « un mélange de simplicité, de modernité et d’humour », « une connexion immédiate avec le public ». Son disque Chocolats symphoniques a été décrit comme étant « une idée saugrenue qui rend la musique classique plus festive ».
Ses œuvres ont été jouées sur quarte continents par des prestigieux ensembles tels l’Orchestre symphonique de Montréal, l’Orchestre symphonique de Toronto, l’Orchestre symphonique de Vancouver, l’Opéra de Vancouver, l’Orchestre Philharmonique royal de Liège, l’Orchestre symphonique de Houston, l’Orchestre régional de Normandie, l’Orchestre du Centre national des Arts, l’Orchestre symphonique de Québec, l’Orchestre Métropolitain, le Pacific Opera Victoria, Angèle Dubeau & La Pietà, l’Orchestre philharmonique de Calgary, l’Orchestre symphonique d’Edmonton, le Victoria Symphony, l’Orchestre symphonique de Lancaster, le Endless Mountain Music Festival Orchestra, le River Oaks Chamber Orchestra, l’Orchestre symphonique d’Oakville, l’Orchestre symphonique du Saguenay-Lac-Saint-Jean, l’Orchestre symphonique de Thunder Bay, l’Orchestre symphonique de Laval, l’Orchestre symphonique de Conway, l’Orchestre symphonique de Stratford et l’Orchestre symphonique de Toledo.
Ses œuvres font maintenant partie du répertoire régulier d’orchestre. Chocolats symphoniques a été jouée plus de 75 fois, Citius, altius, fortius! plus de 35 fois, et Par un soir d’Halloween est jouée chaque année pendant la période d’Halloween par plusieurs orchestres. Certaines de ses œuvres figurent dans le très réputé David Daniels Orchestral Music Handbook, un ouvrage de référence pour la planification de programmes orchestraux. De plus, l’air « Song of Persistence », de son opéra The Flight of the Hummingbird, fait partie du Canadian Opera Anthology.
Son mash-up Hymnes unies, enregistré par le Toronto Symphony Orchestra, figure sur l’album Canada Mosaic – Sesquies. Son ouverture olympique Citius, altius, fortius! figure sur l’album Les plaisirs coupables de l’Orchestre symphonique de Sherbrooke ainsi que sur l’album Jean-Willy Kunz Au grand orgue de Pierre-Béique. Sa suite orchestrale Chocolats symphoniques, enregistrée par le Prague FILMharmonic Orchestra, figure sur l’album Chocolats symphoniques.
De plus, Maxime Goulet a été compositeur en résidence au National Academy Orchestra of Canada (2011-2012), dans le cadre du Brott Music Festival, ainsi qu’à l’Orchestre de chambre McGill (2013-2014).
Il compose présentement sa Symphonie de la tempête de verglas – une oeuvre commémorant les 25 ans de la tempête de verglas historique de 1998 au Québec. L’oeuvre est commandée par cinq orchestres nord-américains: l’Orchestre classique de Montréal, ROCO, l’Orchestre symphonique de Laval, l’Orchestre symphonique de Sherbrooke et l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières.