Couverture médiatique
Entrevues, critique et divers reportages à propos du travaille de compositeur de Maxime Goulet.
Entrevues, critique et divers reportages à propos du travaille de compositeur de Maxime Goulet.
L’album « Maxime Goulet: Symphonie de la tempête de verglas » de l’Orchestre classique de Montréal et Jacques Lacombe reporte le Juno pour le meilleur album classique de l’année (grand ensemble), le 23 mars, 2024
Entrevue avec Maxime Goulet à City News à propos du prix Juno pour le meilleur album classique de l’année (grand ensemble) et l’oeuvre Symphonie de la tempête de verglas, le 24 mars, 2024.
Entrevue avec Maxime Goulet à MaximoTV à propos du prix Juno pour le meilleur album classique de l’année (grand ensemble) et l’oeuvre Symphonie de la tempête de verglas, le 24 mars, 2024
Conférence de presse avec Maxime Goulet à propos du prix Juno pour le meilleur album classique de l’année (grand ensemble) et l’oeuvre Symphonie de la tempête de verglas, le 23 mars 2024
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son oeuvre Hymnes Unis. Global News, 24 avril, 2017
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son oeuvre Chocolats Symphoniques. Global News, 14 novembre, 2014.
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de Symphonie de la tempête de verglas. Global News, 5 janvier, 2021
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de Symphonie de la tempête de verglas. Météo Média, 20 janvier, 2021
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son oeuvre Chocolats Symphoniques. Canal Alpha (Suisse), 5 novembre, 2019
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son oeuvre Chocolats Symphoniques. France 3, 28 mars, 2017
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de cycle de mélodies Micro météo. Météo Média, 6 juillet, 2020
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son concerto Le basson fait son cirque. OSL, 3 mars 2017
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de Chocolats symphonique et de sa musique pour jeu vidéo. Robert Franz, Orchestre symphonique de Windsor, 7 octobre, 2020
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de sa Symphonie de la tempête du verglas. Katerine Verebely, 29 mars, 2021
Entrevue avec Maxime Goulet et la metteur en scène Mylène Lapierre à propos de son opéra Bungalopolis. SMCQ, 16 fév. 2011
Le compositeur Maxime Goulet partage ses idées sur la façon dont les orchestres peuvent maximiser leur collaboration avec un compositeur pour attirer de nouveaux publics. 6 fév. 2020
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son cycle de mélodie Micro météo. La Sentinelle, 19 mai, 2020
«On peut tourner les manivelles et participer à la diffusion de la musique originale composée par Maxime Goulet. La musique qui joue et fait danser Lucia change en fonction du nombre de manivelles activées. Quand une seule manivelle est tournée, elle est très intime et prend la forme d’un solo de célesta, mais plus on tourne de manivelles, plus l’interprétation devient complexe et la musique grandiose.»
– Quartier des spectacles Montréal, 24 août, 2023
«[Lucia] C’est géniale! C’est beau! c’est charmant!»
– Radio-Canada, Il restera toujours la culture, Émilie Perreault, 22 août, 2023
«The evening commenced with the world premiere of Quebec composer Maxime Goulet’s Symphonie de la tempête de verglas which commemorated the 25th anniversary since the North American Ice Storm of 1998. Goulet’s intricate and emotive piece enraptured the audience, setting the stage for a mesmerizing musical journey in four movements. (Torment, Warmth, Darkness and Light). The composition begins with the haunting but gentle pattering of ice pellets that announces the storm that is brewing… As the music progresses, the orchestra’s intensity grows, mirroring the escalating ferocity of the ice storm. Strings tremble, percussion crashes like thunder, and winds howl in a chilling harmony. The composition masterfully conveys the overwhelming power and destructive force of nature, leaving listeners captivated by its sheer magnitude. In the second movement ” Warmth” , cherished memories of nostalgic evenings spent with electricity-endowed relatives, sitting in front of a fireplace and seeing neighbors and families coming together are accentuated by the lively beats of Quebec “rigodon” led with gusto by concertmaster Marc Djokic. in “Darkness“, the house lights are dimmed in tribute to all those who perished during the storm. The brilliant cellist Chloé Dominguez performed a moving cello solo in homage to OCM’s former maestro Boris Brott’s talented cellist mother, who passed away during the storm. In the final movement “Light“, The Maison Symphonique is flooded with spotlights in a grandiose finale with captivating melodies and evocative harmonies, that invites listeners to reflect upon the resilience that emerged from the darkest of times. Maxime Goulet’s glorious musical tribute to the 1998 Ice Storm, stands as a testament to the power of art in conveying the human experience.»
– Mountain Lake PBS, Geneviève PM Roy, 26 juin, 2023
«La Symphonie de la tempête de verglas de Goulet est une œuvre riche, très descriptive, facile d’accès, mais composée sans raccourcis. Malgré toute l’explication qui en est donnée avant la prestation, l’œuvre laisse place à l’imagination. Elle offre l’occasion à l’auditeur de se laisser entraîner dans un imaginaire collectif, attaché au souvenir de cette épreuve que fut la tempête de verglas de 1998 et aux moments plus glorieux qui y sont aussi liés. Il est toujours difficile de prédire comment se déroulera une première mondiale et le maestro Alain Trudel a dû se sentir soulagé après la très engageante prestation de l’orchestre. Le compositeur a joué de finesse et de subtilité pour clairement illustrer son propos. D’ailleurs, dans le troisième mouvement où il a intégré un solo de violoncelle en honneur de Lotte Brotte, on a l’impression qu’une voix humaine répond au violoncelle et c’est là un des moments particuliers de cette soirée.»
– Pieuvre.ca, Martin Prévost, 25 juin, 2023
«Qu’on se le tienne pour dit, chaque minute de ce concert fût un régal pour les oreilles. La première partie a été consacrée à la Symphonie de la tempête de verglas du compositeur montréalais Maxime Goulet. Rendant bien entendu hommage à la tragédie qui « célébrait » son 25ème anniversaire cette année, l’oeuvre était pleine de textures sonores, de couleurs harmoniques et suivait une logique de storytelling du début à la fin sans tomber dans les gimmicks de composition. Déclinée en quatre mouvements (Tourmente, Chaleur, Noirceur et Lumière), la Symphonie nous a littéralement fait revivre chaque étape de cette épreuve, le tout avec beaucoup de beauté musicale. J’ai particulièrement aimé Chaleur, qui faisait allusion aux soirées passées chez la parenté possédant de l’électricité, alors qu’on pouvait entendre des réminiscences de rigodons entre les lignes. Et que dire du magnifique solo de violoncelle dans Noirceur, honorant la mère violoncelliste de Boris Brott, interprété avec brio par Chloé Dominguez!»
– The Montrealista, 25 juin, 2023
«À travers quatre mouvements intitulés Tourmente, Chaleur, Noirceur et Lumière, Maxime Goulet raconte cette histoire avec intelligence et sensibilité. Il s’est surpassé. Non seulement la Symphonie de la tempête de verglas est-elle intéressante à écouter, mais elle nous ressemble, à nous, les Québécois. Le traitement du matériau orchestral, les textures créées par la superposition de différents timbres, l’arc de développement de chaque mouvement, le dosage dynamique, la cohérence des idées, tout cela démontre que le compositeur a atteint une maturité et s’autorise à déployer sa créativité, à approfondir davantage ses idées, prouvant ainsi de quoi il est capable. On est loin de ses œuvres plus ludiques telles que ses Chocolats symphoniques ou encore Le basson fait son cirque. Avec son sublime solo de violoncelle (en hommage à Lotte Brott), interprété ici par Chloé Dominguez, le troisième mouvement, Noirceur, est particulièrement touchant, et c’est le plus accompli. Du début à la n, Maxime Goulet évite également la complaisance dans l’émotion, il dose le tout avec nesse, bon goût, et ne tombe pas dans certains pièges qui auraient pu rentre le résultat superciel. Au contraire, dans l’ensemble, la conception et les idées développées par la Tempête de verglas en font une symphonie dotée d’un intérêt musical intrinsèque qui va bien au-delà de la narration qu’elle propose, parce que musicalement, elle constitue un univers qui donne le goût d’y revenir, et où l’on a envie de passer du temps. On pourrait d’ailleurs l’écouter sans connaître son propos historique et l’apprécier tout autant. Parions qu’elle aura une vraie vie en étant rejouée souvent, et le fait que ses mouvements présentent chacun une ambiance bien distincte risque de favoriser cette longévité.»
– Ludwig van Montréal, Caroline Rodgers, 22 juin, 2023
«La Symphonie de la tempête de verglas, qui deviendra assurément une œuvre célébrissime, est composée de 4 mouvements, soient 1. La tourmente, II. Chaleur, III. Noirceur et IV. Lumière, et illustre parfaitement le drame climatique que les Québécois ont vécu en 1998. Dans le premier mouvement, on entend distinctement les gouttes de pluie qui tombent, qui s’amoncellent, allant jusqu’à former un rideau de pluie, puis la glace se forme sur les branches, celles-ci commencent à craquer puis à tomber un peu partout… C’est la tourmente… J’ai été subjuguée par l’infinie possibilité des instruments… Comment pouvait-on rendre autant de sons divers, tel un rideau de pluie, avec des instruments musicaux? L’effet est poignant et prégnant. L’éclairage illustrait également chacun des mouvements. La scène était éclairée de bleu lors du premier mouvement, La tourmente. Au deuxième mouvement, La chaleur, le rouge encerclait chaleureusement les musiciens. Ici, le compositeur a voulu rendre l’atmosphère de solidarité, d’aide réciproque, d’union et de chaleur humaine qui a caractérisé le comportement des Québécois face à l’adversité. On se rappelle que ceux qui avaient de l’électricité hébergeaient ceux qui en étaient privés; des centres d’hébergement étaient ouverts pour ceux qui ne pouvaient être hébergés chez des amis ou de la famille; on apportait des plats chauds à ceux qui ne pouvaient cuisiner…bref, tout le Québec était en mode « aide et collaboration ». A travers ces réunions obligées, plusieurs liens se sont formés et les Québécois ont facilement retrouvé le sens de la fête, qui les caractérise… Ainsi, plusieurs ont dansé des rigodons, se sont fait des party, ont cuisiné et dormi au pied du foyer de bois. Le compositeur Maxime Goulet a parfaitement illustré ces moments en incluant plusieurs airs de la musique traditionnelle québécoise. C’était vraiment amusant. Dans le troisième mouvement, La noirceur, tout est au ralenti. Les instruments sont comme en période d’hibernation, ne livrant qu’ici et là, quelques notes lancinantes et tristes. Le temps semble arrêté. On se rappelle que le travail et toutes les activités sociales étaient suspendus, à cette période. Chacun la traversait comme il le pouvait… Même la scène de la Maison symphonique était encerclée de noirceur, pour ce troisième mouvement… Enfin, la renaissance arrive avec le mouvement « Lumière ». Ici, l’éclairagiste a eu une idée de génie en éclairant la scène avec un spot de lumière à la fois, comme pour illustrer que l’électricité revenait maison par maison, secteur par secteur, lors de la crise du verglas. La musique ici est nettement plus gaie, les instruments s’en donnent à cœur joie, comme dans une fête. Enfin, toute la scène finit par être éclairée, les instruments jouent à leur pleine capacité; l’électricité, tout comme la joie et les activités quotidiennes, est revenue. Cette symphonie était tout simplement magnifique et illustrait parfaitement le thème traité, avec une créativité très originale, sortant des sentiers battus. Bravo Maxime Goulet!»
– Pat White, 22 juin, 2023
«L’Orchestre Classique de Montréal a débuté le programme d’hier soir avec La Symphonie de la tempête de verglas en première mondiale. Dans l’oeuvre forte en images de Maxime Goulet, prolifique compositeur québécois, la glace s’est posée sur la maison symphonique comme en plein mois de Janvier. Il s’agit bien de la tempête de 1998 telle que vécue au Québec que le compositeur a brillamment mise en musique. […] Le premier mouvement de cette symphonie qui en compte quatre débute par la Tourmente. Les musiciens soufflaient bruyamment pour mimer le vent dans les branches. Les percussions, bien à l’honneur dans ce mouvement, mimaient à merveille le paysage sonore d’une tempête de verglas. Afin qu’on entende les branches craquer sous le poids de la glace, Maxime Goulet a créer une véritable ambiance dans laquelle on écoutait les gouttes de verglas se poser sur les toits, la glace se figer, les transformateurs exploser. Les musiciens tapotant sur leur instrument, on s’y croirait, en janvier 1998. Les contrebasses à l’unisson dans ce mouvement ont entonné le thème et donné le ton musical à cette ambiance inquiétante. Sous le vrombissements des cordes, on attendait quelque chose de grave et la section cuivre appuyait sur ce tourment. Sous une direction que je qualifierais de discrète du chef Alain Trudel, l’anxiété était palpable. Les éclairages qui font rarement partie du spectacle à ce point dans la Maison symphonique soulignait bien la tempête. Le deuxième mouvement, Chaleur, était en fait un hommage à la solidarité des Québécois lors de cet épisode météorologique catastrophique. Le compositeur souhaitait rappeler les veillées chaleureuses d’antan et cela fut en effet bien présent tout au long du mouvement. Le premier violon a entamé un reel à faire bondir quiconque de sa chaise si on avait pas tous été assis sagement dans la Maison symphonique. On a pu entendre un joli solo de clarinette également. Le son des cuillères de bois rappelait aussi l’aspect folklorique en plus de rendre ce mouvement très festif. Un peu plus et on se mettait tous à taper des mains. Le troisième mouvement, Noirceur évoquait la nuit profonde et se voulait un hommage aux personnes décédées pendant la tempête. En outre, la mémoire de la violoncelliste Lotte Brott fut honorée dans cette partie du spectacle par un solo de violoncelle bien senti. La douleur apparaît dans cette complainte en écho au destin tragique des disparus. Un thème lancinant assez simple somme toute illustrait bien cet élégie. On était davantage dans la froideur que dans le mélodrame ici. Le quatrième mouvement, Lumière au sens propre comme au figuré célébrait le retour de l’électricité! Le rythme militaire à la caisse claire rappelait l’implication des soldats canadiens entourant l’événement météorologique. Les éclairages encore une fois au rendez-vous ajoutait à un long crescendo appuyé par les percussions. Et la lumière fut! Bien appuyée par les cors triomphants.»
– Sors-tu, Sophie Prophète, 21 juin, 2023
«La musique va droit au but avec éloquence dans les effets sonores et succès dans les mélodies. Le 2e mouvement « Chaleur », qui traite de la générosité du peuple québécois, avec ses rythmes folkloriques, a été spontanément applaudi. […] La création mondiale en concert [de Symphonie de la tempête de verglas] a obtenu un vif succès et, oui, cette symphonie est entrée directement dans notre patrimoine.»
– Le Devoir, Christophe Huss, 21 juin, 2023
«[Symphonie de la tempête de verglas] Composer Maxime Goulet was just 17 years old during the Ice Storm of 1998. For the 25th anniversary of the Ice Storm, he went back into the events, sounds and emotions of that time to compose an entire symphony.»
– CBC Montreal, All in a Weekend with Sonali Karnick, 17 juin, 2023
«[Symphonie de la tempête de verglas] is denitely moving and was written by Goulet as such. The first movement is turmoil and begins with the coming of the storm with music that is very descriptive. We have the sound of the ice rain falling on the rooftop, which was a characteristic sound of the ice storm, and the sound of the wind, which becomes bigger and bigger.»
– The Suburban, Jennifer Cox, 12 juin, 2023
«[Symphonie de la tempête de verglas] Turmoil describes the storm with icy crackles, surging rhythms, crescendoing dissonances, and pounding percussion. In Warmth, a raucous Quebec folk dance represents people finding refuge with others having access to fireplaces or electricity. Goulet wants the lights off during performances of the somber, spookily pulsating music of Darkness to evoke “the feeling of ultimate vulnerability that seized us during those dark nights.” Returning lights, fanfares, and tolling bells in Light celebrate the restoration of “normal life,” a happy ending to this vivid, colourful symphony.»
– The Whole Note, Michael Schulman, 3 avril, 2023
«Aplaude the Pacific Opera Victoria and the Vancouver Opera for their collaboration on The Flight of the Hummingbird opera – a work that addresses issues of climate change and reconciliation.»
– Senator’s statement, Patricia Bovey, 29 mars, 2023
«A collection of works by Quebec composer Maxime Goulet, whose creative output ranges from symphonic classical to video game music-like sounds. [The album] Symphonie de la tempête de verglas is based on the massive power outage that occurred on January 4, 1998. It is a grandiose depiction of the threat of an environment that mankind is powerless to overcome, as well as the glimmer of hope that emerges afterwards. The symphony sounds easy to understand, like game music, but it also makes us think about the power of human beings, the impossible and the possible.»
– Cds Vinyl Japan, 8 mars, 2023
«★★★★★ La Symphonie de la tempête de verglas, […] est tout simplement sublime. La beauté terrifiante de cette catastrophe naturelle est brillamment illustrée par le premier mouvement de la symphonie, Tourmente, avec des cordes de violon et des timbales tonitruantes qui annoncent l’approche des nuages, du vent et de la tempête. Les Canadiens se sont unis en cette période de crise, comme en témoigne l’air folklorique des bois qui transparaît dans les mélodies autrement dramatiques. La longueur, l’intensité et la progression rythmique des mouvements rendent parfaitement compte de la résilience du Canada face à un événement aussi grandiose, ce qui rend les moments de deuil et d’apaisement puissants. Lumière conclut la première symphonie avec des trompettes triomphantes et des fioritures de violon − c’est l’orchestre à son meilleur.»
– La Scena Musicale, Zenith Wolfe, 18 fév. 2023
«En janvier 1998, une forte tempête de pluie verglaçante s’abat sur l’Est du Canada, le Nord de l’État de New York et sur la Nouvelle-Angleterre. Cet épisode marquant de l’histoire récente du Québec commémore cette année ses 25 ans. Maxime Goulet, un habitué des compositions descriptives et aux thèmes imagés, a composé Symphonie de la tempête de verglas, afin de commémorer musicalement cet événement et d’en évoquer différents angles sous étiquette Atma Classique.»
– PAN M 360, Alexandre Villemaire, fév. 2023
«Le compositeur québécois a su rendre, en 35 minutes, toute la palette d’émotions qui ont pu traverser les cœurs et les esprits à l’époque, et ce, de la plus jolie manière. […] Avec ses quatre mouvements (Tourmente, Chaleur, Noirceur, Lumière) on passe de la gravité à l’espoir, de la chaleur humaine aux nuits glaciales plongées dans la noirceur. D’un bout à l’autre, le talent de cet artiste, fortement inspiré par la métaphore météorologique, est sans équivoque et limpide. Certains moments vous surprendront, tels que la deuxième piste, Chaleur, qui vous fera swinger du pied comme si vous étiez en plein centre d’une gigue folklorique ou d’un spectacle de Riverdance, mais en beaucoup mieux… […] Cette pièce magnifique fait œuvre de mémoire, mais est aussi un important rappel de l’importance de se serrer les coudes en cas de catastrophes, collectives et individuelles. Profondément québécoise, cette symphonie est indéniablement une œuvre universelle qui, espérons-le, pourra voyager hors de nos frontières, afin de faire goûter sa magie tragique à l’international. […] Ludique, originale et essentielle, Symphonie de la tempête de verglas, mérite d’être entendue, ici comme ailleurs. Elle saura réveiller chez plusieurs d’entre nous des souvenirs qui ne demandent qu’à se déposer dans la mémoire collective, afin de faire la paix avec ce qui fut une grande épreuve pour plusieurs familles endeuillées.»
– Mattv.ca, Annie Dubé, 30 jan.2023
«★★★★ 1/2 Maxime Goulet a laissé passer l’orage. Le compositeur né en 1980, pas dans le moule, ou peut-être tout simplement trop doué ou trop intelligent pour se plier au conformisme universitaire, a tranquillement roulé sa bosse dans l’industrie du jeu vidéo. Le milieu classique l’avait revu à l’occasion, avec ses Chocolats symphoniques en 2012 et la Symphonie du jeu vidéo de Montréal, projet de l’OM pour le 375e anniversaire de la métropole. Voici sa première «vraie symphonie» de 40 minutes, [Symphonie de la tempête de verglas]. Et le projet est majeur, car Maxime Goulet s’inscrit très clairement en continuateur de la veine de Jacques Hétu (5e Symphonie, Sur les rives du Saint-Maurice), avec une musique picturale (adagio «Noirceur»), fort bien écrite (l’évocation sonore de la pluie et du verglas, puis la coda de «Tourmente»), qui ne peut venir que d’ici (deuxième mouvement «Chaleur»), tout en dégageant un parfum nord-américain dans les contours très John Adams du finale. Disque patrimonial important, enrichi de deux autres belles compositions: Toute une journée et Histoire de pêche.»
– Le Devoir, Christophe Huss, 27 jan. 2023
«Parue récemment sous l’étiquette ATMA Classique, la Symphonie de la tempête de verglas a comme objectif de faire revivre de façon sensorielle l’un des plus importants désastres naturels en Amérique du Nord. La symphonie d’une trentaine de minutes est divisée en quatre mouvements. Le premier, Tourmente, évoque la tourmente météorologique, mais aussi la tourmente émotive des gens qui ont traversé la tempête. Et pour ce qui est du troisième mouvement, Noirceur, Maxime Goulet a cherché à représenter les contrastes sensibles et psychologiques causés par cette crise hivernale. Noirceur se veut également un hommage à l’une des victimes de la tempête, Lotte Brott, cofondatrice en 1939 de l’Orchestre de chambre McGill, rebaptisé depuis Orchestre classique de Montréal (OCM).»
– Radio-Canada, 12 jan. 2023
«[La Symphonie de la tempête de verglas crée] vraiment un sentiment d’immersion. […] Je trouve fascinant de penser qu’on puisse créer une telle oeuvre simplement en s’imaginant ce que ça donnerait d’écrire ces notes-là et de les donner à des musiciens… et que tout à coup cette oeuvre-là existe!»
– Radio-Canada, Il restera toujours la culture, 11 jan. 2023
«[La Symphonie de la tempête de verglas] est l’interprétation de Maxime Goulet de la crise du verglas. […] Maxime Goulet est un compositeur qui voit ses oeuvres jouées de part le monde par différent orchestres symphoniques à l’international. [Sa symphonie] est maintenant immortalisée sur disque. […] L’oeuvre fait le file du temps de la crise de verglas. Dans le premier mouvement on entend le vent qui souffle et le verglas qui tombe sur les toitures des maisons.»
– Radio-Canada, En Direct, 10 jan. 2023
«Afin de commémorer les 25 ans de l’une des pires catastrophes naturelles de l’histoire du Québec Maxime Goulet créer et propose l’album Symphonie de la tempête de verglas. Évoquant divers aspect de la crise de 1998 (Tourmente, Chaleur, Noirceur et Lumière) les movements nous replongent avec justesse dans le cœur de la crise avec son lot d’angoisse ps mais aussi des élans de bonté. Augmenté des œuvres Histoire de pêche et Toute une journée, l’album m’a bien ouvert au travail de Maxime Goulet dont j’ai pris plaisir à découvrir la sensibilité. Variant les tempos et les crescendos sans non plus négliger la force de la douceur et des silences, la proposition de M. Goulet est très théâtrale et accessible.»
– Frédéric Bussières – Parapet musical, 6 jan. 2023
«Composée par Maxime Goulet pour l’OCM, la Symphonie de la tempête de verglas est une création originale pour commémorer cet évènement tragique [qu’est la crise du verglas de 1998].»
– Radio-Canada, Dessine-moi un matin, 7 jan. 2023
«[La Symphonie de la tempête de verglas], une oeuvre de Maxime Goulet commandée par cinq orchestres […] une alliance d’orchestres digne de la solidarité dont ont fait preuve tant de gens durant la crise du verglas. […] La crise du verglas a été pour le compositeur un premier constat de la vulnérabilité collective et de notre dépendance à l’électricité et répercussions tangible causés par les changements climatiques. […] Très fort, ingénieux! Une oeuvre très évocatrice avec une progression émotive qui est décrite musicalement.»
– Radio-Canada, Le 15-18, 5 jan. 2023
«[La Symphonie de la tempête de verglas], une symphonie qui fait ressentir au public les divers états d’esprit que le compositeur a vécu en 1998 durant cette crise du verglas, en passant de la tourmente jusqu’au retour de la lumière.»
– Radio-Canada, Sur le Vif, 4 jan. 2023
«Il y a 25 ans, en janvier 1998, la tempête de pluie verglaçante plongeait les Québécois dans le noir et dans un chaos dantesque. Au-delà des énormes conséquences sur l’économie et la société, le verglas est entré dans la culture populaire du Québec. En voici quelques exemples. […] Commandée par l’Orchestre classique de Montréal et d’autres partenaires, la Symphonie de la tempête de verglas a été composée par le Montréalais Maxime Goulet pour commémorer les 25 ans de cet évènement. La création officielle aura lieu le 20 juin 2023 à la Maison symphonique. L’œuvre se décline en quatre mouvements associés à des aspects de cette crise : tourmente, chaleur, noirceur et lumière.»
– La Presse, André Duchesne, 4 jan. 2023
«La fameuse Symphonie de la tempête de verglas du compositeur Maxime Goulet est maintenant disponible sur disque, sous étiquette ATMA Classique. Survenue le 4 janvier 1998, la tempête qui allait déclencher l’historique crise du verglas a 25 ans! Interprétée par l’Orchestre classique de Montréal sous la direction de Jacques Lacombe, la symphonie de Maxime Goulet en évoque les faits saillants.»
– Ludwig van Montréal, Caroline Rodgers, 3 jan. 2023
«[Jeux de ballon de plage pour orchestre] is a very brilliant, interactive way of bridging genres and cultures and combining different media.»
– Stir, John Lucas, 1er Nov. 2022
« What does a beach ball do for a symphonic concert? Jesper Nordin, music director of the Aarhus Symphony Orchestra, thinks that you should come in to watch on Wednesday when the orchestra not only lets itself be conducted by a conductor, but also by an avatar in the form of a beach ball in a new concert format, « Sansernes symphony ”. Here, classical music is not just classical in a classical way. « What we do very specifically, also with this concert, is that we investigate what happens between the audience and the orchestra, » says Jesper Nordin. There are some pieces of music where the audience is involved and in a way expands the experience. It is Symphonic Chocolates – there are four movements, and to each movement belongs a specific piece of chocolate, which you then eat at a given signal, and where you then get an experience that music and taste play together, » he says. “As the composer, the Canadian Maxime Goulet, has thought, the pieces of music have a character that is repeated in the chocolate. So he has prescribed which chocolate belongs to which piece of music. It was written for an orchestra in Canada and has been played countless times in the United States. » Then there is also the music with a beach ball, which is also written by Maxime Goulet: Beach Ball Games for Orchestra. It is based on a fairly simple computer game, where the audience is represented by a beach ball, which it must box around the hall, and then they must avoid « dying ». The point is, the music changes depending on what the audience is doing with the beach ball. “It’s an experiment for us and it’s the first time we’re doing something like that. But many other orchestras abroad have tried it with great success, » says Jesper Nordin. »
– Jyllands-Posten, 21 Sept. 2021
« [Citius, altius, fortius! est] tout à fait dans l’esprit glorieux des Jeux olympiques. »
– Ludwig van Montréal, Caroline Rodgers, 6 juin, 2021
« La reproduction du concept de tempête par un orchestre est intéressante, puisque le chaos peut être reproduit avec des sons. La Symphonie de la tempête de verglas en quatre mouvements explore différents moments clés de la crise. Le premier mouvement, tourmente, est une musique dramatique qui évoque le déchaînement des éléments naturels. Le deuxième mouvement, chaleur, fait référence au moment positif de la crise, où ceux qui n’avaient plus d’électricité pouvaient trouver refuge. Les nuits plongées dans le noir total ont inspiré le troisième mouvement de la symphonie, intitulé noirceur. La beauté mystérieuse d’une nuit éclairée par le ciel étoilé était jumelée avec l’incertitude de la suite des événements. Le mouvement final, lumière, rappelle le moment tant attendu du retour de l’électricité. Plus positif et tourné vers l’avenir, celui-ci a un tempo plus rapide. »
– Météo Média, Rosalie Dion, 20 jan. 2020
« The Symphonie de la tempête de verglas, a new piece, inspired by the turmoil and the darkness, but also the warmth and the light, of the great storm that froze Quebec in its tracks, 23 years ago. »
– CBC, All in a Weekend, Ainslie MacLellan, 17 jan. 2021
« Maxime Goulet va frapper un grand coup: il composera enfin sa première symphonie, et pas n’importe laquelle. Ce sera une Symphonie de la tempête de verglas, commandée par l’Orchestre classique de Montréal et quatre autres orchestres formant un consortium qui permettra à la pièce d’être entendue aux quatre coins du Québec et même aux États-Unis au cours des prochaines années. […] En 1998, la catastrophique crise du verglas frappait le Québec. Ce sera donc son 25e anniversaire en 2023. Maxime Goulet, un habitué de la musique dite à programme, aura de quoi s’inspirer en puisant dans toutes les facettes de cet événement historique, qu’elles soient météorologiques, sociales ou humaines. »
– Ludwig van Montréal, Caroline Rodgers, 9 déc. 2020
« La Symphonie de la tempête de verglas est un hommage à la résilience des Québécois. »
– Les ArtsZé, Marc-Yvan Coulombe, 9 déc. 2020
« Faire revivre en musique l’une des pires catastrophes naturelles de l’histoire du Québec, telle est l’ambition du compositeur québécois Maxime Goulet et de l’Orchestre classique de Montréal (OCM). Afin de commémorer les 25 ans de la crise du verglas de 1998, il composera une œuvre qui sera interprétée par cinq orchestres nord-américains. […] La Symphonie de la tempête de verglas soulignera notre vulnérabilité à l’environnement et vise aussi à rendre hommage à la solidarité démontrée par la population québécoise lorsqu’une partie de la province a été plongée dans le noir. »
– Radio-Canada, 9 déc. 2020
« The Ice Storm Symphony will evoke various aspects of the ice storm, conjuring up its most striking and memorable moments. It will also serve to raise awareness of our vital ecosystem and the fragility of our environment. At the same time, the piece will deliver a message of hope, paying tribute to the empathy, generosity, and heroism of the Québec people as they came together in the midst of this life‑changing event. »
– OrcaSound, 9 déce. 2020
« Cinq orchestres nord-américains participent à cette commémoration des 25 ans de la crise du verglas de 1998 à travers [la Symphonie de la tempête de verglas] commandée au compositeur québécois [Maxime Goulet]. Connu pour ses concepts musicaux inusités (tels ses Chocolats symphoniques et la série Micro météo), Goulet a choisi aujourd’hui de s’attaquer au récit musical de l’une des pires catastrophes naturelles de l’histoire du Québec. »
– La Scena Musicale, 9 déc. 2020
« Chocolats symphoniques, une suite orchestrale délicieusement composée pour accompagner une dégustation de chocolats. »
– Radio-Canada, Elvis Nouemsi Njiké, 23 sep. 2020
« [Le basson fait son cirque.] De façon originale et figurative, ces numéros d’adresse, de charme, ou de force mettent en scène cet instrument méconnu [le basson]. »
– Unidiver.fr, sept. 2020
« The music in [The Flight of the Hummingbird] opera is perhaps its finest feature, and I have to say that composer Maxime Goulet will be someone that I follow with strong interest. Goulet’s score doesn’t always shift seamlessly from one number to the next, but his music has a depth of feeling that is sometimes not present in children’s operas. There are some moments that are more grim than Hänsel & Gretel, as goofy as Barab’s Little Red Riding Hood, and complex and lyric as pieces like Lori Laitmain’s The Three Feathers. The fact that there were echoes of tribal drums in the beginning seems like the right amount of musical homage to the source material without drifting into inauthentic territory. Goulet simply does a wonderful job of capturing the energy of a character and giving them very indicative, emotive music without the libretto having to spell it out. This cast of singers – particularly van der Hooft and Schabas – does a great job of rendering this inventive score with personality and strong singing that doesn’t lean on childish or funny voices. […] The Flight of the Hummingbird is founded on great tendencies in children’s opera literature and is paired with excellent music in a diverse group of styles. The cast size and makeup is perfectly traditional (SATB quartet) and the length is just about right. Whether performed in the United States or Canada, the message – even though it’s stated a little too plainly at times – would carry far with young audiences. »
– Matt Cooksey, 11 août, 2020
« Les capsules Micro Météo, mises en ligne par le compositeur Maxime Goulet, allient la délicatesse de la poésie et la force du chant opératique du ténor Jean-Michel Richer, sur le flot du piano de Christian Girard, en 30 minuscules secondes. Goulet a mis en musique des lignes de poésie qu’il a écrites, sortes de haïkus météorologiques détaillant le quotidien, pour en faire des clips punchés et efficaces. Le tout défile sur des illustrations signées Emilie Goulet. »
– Le Devoir, Caroline Monpetit, 23 mai 2020
« Maxime Goulet a composé des pièces pour orchestres à déguster avec du chocolat, une symphonie pour 60 musiciens accompagnant des jeux vidéos. L’artiste a même déjà écrit de la musique sur des textes humoristiques parus dans le magazine Croc. Pendant la crise, il continue de jouer des multiples cordes de son arc. Depuis le début du confinement, Maxime Goulet, jamais en reste d’idées créatives, compose [Micro météo], de son quartier de Saint-Henri, des micro-pièces de musique de 30 secondes, pour ténor et piano, sur des poèmes, presque des haïkus, météorologiques. Immobilisé par le confinement, Maxime Goulet a saisi l’occasion pour replonger dans ses poèmes météorologiques, et de composer des musiques pour les accompagner. Jusqu’à ce que la crise de la COVID-19, et la numérisation tous azimuts qui en découle, lui donne le support parfait pour s’y remettre. Conscient que les salles de concert n’allaient pas rouvrir de sitôt, il décide de profiter du contexte pour se remettre à la création. Il entreprend de mettre en musique ces petits bulletins de météo, regards quotidiens sur le temps qu’il fait, tout à fait adaptés à l’immobilisme ambiant. La formule s’arrime aussi parfaitement aux réseaux sociaux, parce qu’ils ne demandent qu’un bref temps d’attention. Le ténor Jean-Michel Richer et le pianiste Christian Girard ont respectivement enregistré la pièce chez eux, et c’est Maxime Goulet qui les mixe chez lui. Pour éviter de présenter les pièces sur des images de qualité douteuse d’artistes confinés chez eux, Maxime Goulet a eu l’idée de demander à sa sœur Emilie, qui est illustratrice, de fournir des dessins pour chacune des pièces. Porté par son projet, Maxime Goulet s’est d’ailleurs remis à écrire des poèmes, lui qui avait été accaparé par la composition musicale au cours des dernières décennies. »
– Le Devoir, Caroline Monpetit, 21 mai 2020
« Avec son projet intitulé Micro météo, le compositeur de musique de films et de jeux vidéos Maxime Goulet allie poésie et météo dans des capsules à la fois musicales, littéraires et artistiques. Sa série de courts poèmes de 30 secondes écrits, mis en musique par lui-même a été réalisée entièrement en confinement, et met en valeur la poésie du quotidien tout en nous permettant de voir la beauté à travers notre fenêtre. »
– Sors-tu, Jean-François Roy, 19 mai, 2020
« Le compositeur montréalais Maxime Goulet reconnu pour plusieurs œuvres pour opéra, orchestre et même jeux vidéo travaille sur un projet en cette période de confinement. Il compose [Micro météo,] de courts poèmes ainsi qu’une mélodie pour les accompagner. Le ténor Jean-Michel Richer et le pianiste Christian Girard interprètent la musique. Le tout est sous le thème de la météo. Ça réchauffe le cœur! »
– Le Journal de Montréal, Léa Papineau Robichaud, 19 mai, 2020
« [Micro météo is] a series is a piece that will last long beyond the lockdown. »
– Mountain Lake PBS, Gen’s Delights, 19 mai, 2020
« [Micro météo,] des petits poèmes opératiques qui font preuve d’originalité. […] Ça permet à des jeunes de s’initier à l’art opératique et de voir que c’est un art qui s’adapte à tout. »
– Radio-Canada, Tout un matin, Eugénie Lépine-Blondeau, 14 mai 2020
« The Flight of the Hummingbird, an extraordinary opera for young audience composed by Maxime Goulet, on a libretto by Haida artist Michael Nicoll Yahgulanaas and Barry Gilson. […] An instant success. […] A call to action positioned in the context of climate change. »
– Broadway World, May 13, 2020
« On the surface, The Flight of the Hummingbird is a story of how the smallest bird in the world unites his fellow forest animals to help save their home from a wildfire. But audiences soon realize that the moral of the story is a call to action and how any individual, regardless of how small, can be a changemaker to inspire the whole community to act. […] It is a metaphor on climate change and self-empowerment that we find resonates with both children and adults. […] The creation of the opera not only creates a forum for underrepresented Canadian voices but also an opportunity for emerging artists. »
– Times Colonist, Pedro Arrais, Mar. 29, 2020
« Everyone’s absolute favorite is Échec et Mat!, a musical recreation of the famous 1986 chess match between Russian grandmaster Garry Kasparov (represented by solo pianist Lara Downes) and the IBM computer known as “Deep Blue” (represented by the orchestra). Kasparov lost, but not before a pitched battle. The intricacy of this composition staggers my mind. »
– Houston Chronicle, Chris Gray, 23 Mar. 2020
« Maxime Goulet is a talented composer who is establishing himself throughout Canada as an inventive and boundary stretching modern composer. »
– CBC, The Bridge, Nantali Indongo, 14 Mar. 2020
« Le compositeur québécois Maxime Goulet a de quoi être fier : son opéra-jeunesse, The Flight of the Hummingbird, est présentement en tournée en Colombie-Britannique avec plus de 100 représentations dans les écoles et centres culturels de la province. Basé sur un conte de l’artiste haïda Michael Nicoll Yahgulanaas, l’opéra, d’une durée de 45 minutes porte un message d’espoir et de persévérance alors qu’un oiseau-mouche, personnage principal de l’histoire, tente d’éteindre un feu de forêt, goutte par goutte. Il s’agit d’une parabole à saveur environnementale, dont le message veut que chaque personne, même la plus petite, peut faire sa part d’efforts pour sauver la nature, et que chaque geste compte, si petit soit-il. Le livret de l’opéra, destiné aux 5 à 15 ans, a été co-écrit par Barry Gilson. Quant au conte de Nicoll Yahgulanaas, il est lui-même inspiré d’une histoire du peuple Quechuan d’Amérique du Sud. La composition a été écrite pour quatre voix, piano et violoncelle. Comme il arrive que deux représentations soient données le même jour, la petite production doit être en mesure de plier bagage facilement et loge dans un camion! Le spectacle suscite déjà de l’intérêt en dehors du Canada. »
– Ludwing Van Montreal, Caroline Rodgers, 3 Mar. 2020
« Le colibri, symbole de courage et de sagesse, dans l’opéra The Flight of the Hummingbird. Le Vancouver Opera et le Pacific Opera ont demandé à l’artiste haïda Michael Yahgulanaas d’écrire un opéra pour un jeune public à partir de son livre Flight of the Hummingbird dont il avait aussi fait les illustrations. Cette fable raconte l’histoire du brave colibri qui fait ce qu’il peut pour sauver une forêt des flammes destructrices. Le compositeur de l’opéra est le Montréalais Maxime Goulet avec qui Yolaine Mottet s’est entretenue. »
– Radio Canada, Yolaine Mottet, 2 Mar. 2020
« Fermez les yeux. Savourez un chocolat au caramel. La douceur et le moelleux se mêlent, le sucre envahit votre bouche. Vos papilles se délectent. Vous vous sentez bien. Vous êtes détendu. Qu’entendez-vous? Quelle musique? Et si on essaie avec un chocolat à la menthe? Entendez-vous autre chose? Sentez-vous le frais de la menthe? Entendez-vous une musique froide, une musique de glace? C’est à ce jeu de pistes que nous a conviés l’ESN (Ensemble symphonique Neuchâtel), dimanche au théâtre du Passage dans le cadre de «Chocolatissimo». Le compositeur Maxime Goulet a composé «Chocolats symphoniques», pièce inspirée de la saveur de quatre chocolats différents que le public est invité à déguster lors de l’interprétation de l’œuvre. Le papier grésille, résonne entre les rangs du théâtre; le chocolat fond lentement sur la langue. Mmmh! La musique vient commenter la sensation gustative. La composition de Maxime Goulet est très suggestive. On entend vibrer le vent froid du nord dans les cordes de l’orchestre, alors que la fraîcheur mentholée explose en bouche. Le dynamisme des rythmes brésiliens vient se superposer au goût légèrement amer du café. Une expérience multisensorielle très suggestive. »
– ARCInfo, 4 nov. 2019
« The programme began with Goulet’s «Chocolats symphoniques». Everyone had been given a box of four hand-made chocolates (from Urban Village Chocolates) – one chocolate to eat for each movement. This was a truly novel way to enjoy the music and everyone thoroughly enjoyed it. This symphony had never before been played in the UK, so this was a unique experience. »
– Hinchley Wood, 3 nov. 2019
« [In Fishing Story] a clarinet player — fully dressed in fishing gear — sat at the front of the stage in a makeshift boat and recreated a fishing story. Orchestra members played with their breath as well as their assigned instruments, making whooshing sounds by breathing in a certain way. The clarinet was the fishing rod and a fish was caught. »
– Kamloop This Week, 16 mai, 2018
« Le concert innovait par l’introduction de pièces interactives. L’une d’entre elles, Jeux de ballon de plage pour orchestre, nécessitait la participation du public avec un énorme ballon de plage. Les spectateurs devaient déplacer le ballon pour atteindre des objectifs affichés à l’écran géant au cours de trois mini-jeux. Une expérience musicale très intéressante sinon quelque peu laborieuse. »
– Gamer Québec, Michaël Bertiaux, 23 nov. 2018, 10 Oct. 2018
« Jeux de ballon de plage pour orchestre, une création de Maxime Goulet, concepteur et coordonnateur artistique du spectacle, oblige les spectateurs du parterre à coopérer pour déplacer un immense ballon qui permet de déplacer un icône sur l’écran. L’orchestre souligne en direct les gains et les pertes du public, qui ne manquent pas de susciter des réactions. »
– Le Soleil, Josianne Desloges, 22 nov. 2018
« En seconde partie les spectateurs ont pris plaisir à participer à la pièce Jeux de ballon de plage pour orchestre de Maxime Goulet qui permet à la foule de jouer en direct sur la musique avec un immense ballon de 8 pieds de diamètre et les gens ont vite compris les jeux et comment faire réagir le ballon du bon côté pour que ce dernier attrape les étoiles ou défie les crânes pour gagner la partie chaque fois. »
– Média des 2 Rives, 21 nov. 2018
« L’imagination débordante d’un compositeur, au delà des jeux vidéo
Maxime Goulet, compositeur, est L’Artiste de la semaine Ludwig van Montréal.
S’il est connu avant tout pour sa musique de jeu vidéo, notre artiste de la semaine, Maxime Goulet, a bien d’autres tours dans son sac. Alors que l’Orchestre symphonique de Québec s’apprête à présenter la Symphonie du jeu vidéo, dont il est le concepteur et le coordonnateur artistique, nous profitons de l’occasion pour faire découvrir aux lecteurs de Ludwig van Montréal d’autres aspects moins connus d’un artiste qui déborde d’imagination, toujours en quête d’idées qui sortent des sentiers battus.
Poli, assez réservé et parfait gentleman, Maxime Goulet n’est pas le genre de compositeur qui pique des crises pour qu’on s’occupe de lui. Il fait plutôt sa place dans le monde musical à coup de concepts astucieux qui séduisent les orchestres et leur public.[…] Dans sa musique, il cherche à rejoindre un vaste public.
Jeux de ballon de plage pour orchestre, une pièce interactive avec le public qui obtient un succès fou…la notion de « fun » dans la salle de concert prend tout un autre sens ici… […]
Le River Oak Chamber Orchestra, situé à Houston, a commandé à Maxime Goulet un Concerto pour piano pas comme les autres dont la création a eu lieu en septembre. […] Dans son concerto [Échec et mat!], chaque pièce du jeu d’échec est associée à un thème musical: roi, reine, fou, pion, tour… Les Blancs, qui sont Deep Blue, sont représentés par l’orchestre et les Noirs, qui sont Garry Kasparov, sont représentés par le piano. Sur un écran, on peut suivre la partie, que l’on voit évoluer avec la musique. C’est comme une partie d’échecs entre le piano et l’orchestre. […]
Parmi les succès de Maxime, il y a certes les Chocolats symphoniques, suite orchestrale qui a été jouée plus de 70 fois ici et à l’étranger. Elle sera d’ailleurs jouée de nouveau en janvier prochain par l’Orchestre symphonique de Falcon, au Vénézuela, et en février, par le Kitchener-Waterloo Symphony. Le concept est simple: associer la musique à un arôme de chocolat. Le public, évidemment, déguste les chocolats en écoutant la pièce. « L’idée, c’est de faire vivre aux gens une expérience multisensorielle, dit-il. Un autre aspect agréable, c’est qu’à chaque fois, on fait un partenariat avec un chocolatier local qui apporte sa touche personnelle. Quand j’ai la chance d’être sur place, je me fais plaisir en y goûtant! Mes projets mettent souvent les gens de bonne humeur. » À l’heure où les organismes musicaux sont à la recherche de nouvelles formules pour attirer le public, l’offre a de quoi séduire en combinant musique et dégustation gourmande. Les quatre mouvements sont donc associés au Caramel, Chocolat noir, Menthe et Café. Il fallait y penser! […]
Parmi les projets importants à venir, il y a la création de Flight of the Hummingbird, un opéra pour jeune public commandé par le Vancouver Opera et le Pacific Opera Victoria. Basé sur un livre de l’artiste visuel très reconnu de la Première nation Haida, Michael Nicholl Yahgulanaas. Cette fable écologique a connu un immense succès et a été traduite en plusieurs langues. […] »
– Ludwig van Montréal, Caroline Rodgers, 19 nov. 2018
« J’ai adoré Défilé de marionnettes, car j’étais capable de m’imaginer les marionnettes et leur histoire pendant que l’orchestre et son chef jouaient. Le mouvement qui m’a plu le plus est « le loup », car je trouve que ce mouvement de la pièce était rapide et excitant. Saviez-vous que Maxime Goulet a composé cette pièce quand il était encore étudiant à l’Université? Il est vraiment très bon, n’est-ce pas? »
– Éléna Dostie (10 ans), 10 Oct. 2018
« [Dans Échec et mat!] Les 73 coups de la célèbre partie d’échecs se traduisent parfaitement d’un échiquier à une partition. Les actions des joueurs sont souvent en miroire, de manière à ce que le chevalier blanc suive son homologue noir, par exemple en créant une forme idiomatique similaire à celle d’un concerto. […] Je pense que créer une expérience immersive comme celle-ci est génial. C’est certainement la voie de l’avenir. »
– Houston Chronicle, Elizabeth Knox, Sept. 19, 2018
« Cool. Une partie d’échecs pour piano et orchestre basé sur ma première partie contre Deep Blue [Échec et mat!] »
– Garry Kasparov, Twitter, Sept. 21, 2018
« A lyrical melody with sonorous notes by Canadian composer Maxime Goulet envelops the crowd at a downtown Toronto venue, as guests savour creamy chocolate caramels. As the symphonic music turns passionate, the deliciously bitter finish of a dark chocolate morsel lingers. This isn’t an elegant summer wedding: Symphonic Chocolates is playing to an academic crowd at the International Multisensory Research Forum, where Oxford prof and author Charles Spence is a keynote speaker. This serving of complementary sound and flavour notes is just the kind of mind-bending experiment Spence celebrates in his book Gastrophysics: The New Science of Eating—a kind of Freakonomics for foodies. »
– Bay Street Bull, 18 juin, 2018
« Ça marche! J’ai croqué une bouchée du chocolat au café et c’est exactement la musique que j’entendais – l’accord [de Chocolats symphoniques] est parfait. »
– Médium Large, Catherine Perrin, 28 mars 2018
« Les exquises compositions [Chocolats symphoniques] de Maxime Goulet, jeune compositeur québécois de grande renommée, ont saupoudré le concert de fraicheur et nous ont fait explorer un tout nouveau lien avec la musique. […] Ses œuvres symphoniques portant le nom de différents chocolats se mariaient bien avec leurs gâteries homologues. Chocolat au caramel, c’était la décadence, l’aspect langoureux et la richesse. Les instruments nous envoûtaient et nous habitaient pour traduire cet aspect plus crémeux et enveloppant. Chocolat noir, l’intense amertume se traduisait par une musicalité plus rythmée qui effleurait un sentiment de séduction. Chocolat à la menthe, un vent de fraîcheur qu’on a pu entendre à la fin du mouvement de manière plutôt concrète. Pour conclure, chocolat au café, des saveurs brésiliennes exprimées dans un rythme de samba. Ces mouvements étaient accompagnés de chocolats et amplifiaient les saveurs comme les textures. Ce fut un moment de découverte mémorable. De plus, je dois avouer que le fait qu’un artiste québécois nous subjugue par ces notions peu communes m’a tout à fait séduite. »
– EstriePlus, Sarah-Eve Desruisseaux, 28 mars 2018
« Le public avait sincèrement l’air de se régaler samedi soir à la salle Maurice-O’Bready à l’occasion du concert de l’Orchestre symphonique de Sherbrooke, dont le titre était « Classiques et chocolat! ». […] Le nom des mouvements [de Chocolats symphoniques] suffisait à mettre l’eau à la bouche : Chocolat au caramel, Chocolat noir, Chocolat à la menthe et Chocolat au café… Heureusement, l’Orchestre symphonique de Sherbrooke a eu la bonne idée de vendre à la porte des petites boîtes de dégustation de quatre chocolats correspondant aux noms des mouvements. On pouvait ainsi sentir le caramel couler dans notre bouche tout en écoutant le son coulant des cordes, sentir l’amertume du chocolat noir accompagnée des staccatos des instruments à vent ou encore les touches exotiques du café rappelées par les pizzicatos des cordes, façon ukulele. »
– La Tribune, Camille Dauphinais-Pelletier, 24 mars 2018
« [Jean-Willy Kunz] began with an extended solo fanfare, Maxime Goulet’s Citius, altius, fortius! This reviewer has heard nothing like that theatrical, rousing organ sound since his mom took him to Radio City Music Hall as a kid. »
– All About Jazz, Victor L. Schermer, 18 Fév. 2018
« [Chocolats symphoniques is] a curious connection between sound and taste. […] When I listened to it, I found myself craving chocolate! »
– The Findings Report, 23 Jan. 2018
« Une ouverture brillante composée pour les Jeux olympiques d’hiver de 2010 à Vancouver. Citius, Altius, Fortius! (Plus vite, plus haut, plus fort!) est certainement une oeuvre à la hauteur de son titre. »
– Pipedreams, Michael Barone, 15 Jan. 2018
« [Le basson fait son cirque est] une œuvre amusante de Maxime Goulet, créée par Michel Bettez et l’Orchestre symphonique de Laval, et dans laquelle le soliste ne doit pas, disons, se prendre trop au sérieux… »
– Ludwig van Montréal, Frédéric Cardin, 20 nov. 2017
« Le compositeur Maxime Goulet a eu la délicieuse idée d’écrire une suite illustrant en musique différents types de chocolats. Encore mieux, il offre au public de déguster ces chocolats pendant l’écoute de l’œuvre. Le compositeur canadien propose ainsi Chocolats symphoniques, une expérience multisensorielle qui bouleverse le concept de concert classique et, par le fait même, celui des plaisirs du chocolat. Le parcours de l’auditeur, au fil des variations de tempo et de caractère, commence par une mélodie lyrique qui rappelle l’onctuosité du caramel fondant et s’achève au rythme de samba d’un allegro dynamique évoquant le Brésil, le plus important producteur de café du monde. Les mouvements centraux présentent des dissonances qui reflètent l’amertume du chocolat noir. La vision que suggère un séduisant tango laisse bientôt sa place à la saveur glaciale du chocolat à la menthe, assez pour faire frissonner le public. Les violons créent cette ambiance aiguë et métallique en produisant notamment un trémolo, ce mouvement rapide de l’archet en va-et-vient. »
– The Houston Chron, Lawrence Elizabeth Knox, 16 Nov. 2017
« [Jeux de ballon de plage pour orchestre] Rarement aura-t-on vu une salle Wilfrid-Pelletier aussi joyeuse et bruyante. »
– Le Journal de Montréal, Christophe Rodriguez, 30 Sept. 2017
« [Jeux de ballon de plage pour orchestre] Le public du parterre a même participé collectivement et joué avec un ballon géant dans une ambiance bon enfant. »
– Le Devoir, Christophe Huss, 30 Sept. 2017
« [Jeux de ballon de plage pour orchestre] Moments forts et inattendus […] Un crowdgame (jeu de foule) a aussi été créé spécialement pour le concert : tout le public du parterre s’est mis à déplacer un ballon géant pour obtenir des objectifs et éviter des obstacles. On a bien ri! »
– Sors-tu.ca, Ambrune Martin, 30 Sept. 2017
« The first concert, Last Night of the Festival, Eh!, began in good taste, as the audience dipped into chocolates paired specifically with Maxime Goulet’s Chocolats symphoniques: Orchestral Sweets in Four Flavours. For a piece which was born out of the composer’s trip to a chocolate shop, the degustation did well to heighten the moods clearly articulated by Goulet and delivered “true to life” by the National Academy Orchestra of Canada. »
– Ludwig van Toronto, Jennifer Liu, Aug. 5, 2017
« Après le concert, la fierté était palpable chez les jeunes. Une expérience hors du commun! [Fabrique symphonique] »
– L’école et les arts, L’école et les arts, 14 Juin 2017
« [Hymnes Unis is] a welcoming olive branch of music. […] Goulet’s piece embraces Canada in the context of the wider world. […] It’s fascinating to listen for how Goulet strings anthems together, from Peru to the Philippines. […] It’s amazing to see how much musical wealth can be packed into just two and a half minutes. »
– WQXR Classical New York, James Bennett II, 5 Juin 2017
« Moussa, Bilodeau, Goulet, Champagne et quelques autres […] Mine de rien, notre musique contemporaine, loin des chapelles et des ayatollahs, vit sa révolution tranquille. »
– Le Devoir, Christophe Huss, 3 Juin 2017
« [Hymnes Unis] Un incroyable collage de deux minutes et demie de 35 hymnes nationaux. »
– Classic FM, Lizzie Davis, 9 Mai 2017
« [Hymnes Unis] Une brillante idée! […] Les hymnes s’enchaînent si bien. […] Un bel exploit. »
– Global News, Morning News, 24 Avr. 2017
« C’est un concept original et enchanteur proposé par l’Orchestre de Normandie, un Concert au Chocolat qui sillonne la Normandie. Une excellente idée qui combine le plaisir des sens, l’ouïe et le goût y étant sollicités. Ce vendredi, l’accueil était des plus agréables pour le public à la Renaissance, chacun recevait gracieusement un ballotin de quatre chocolats avant de s’installer pour apprécier le concert qui allait suivre. […] En guise de mise en bouche dans ce menu, on ne peut plus convaincant, nous savourons une superbe interprétation de la très belle œuvre de Maxime Goulet Chocolats symphoniques […] Ces œuvres sont magnifiquement servies par l’ensemble de l’orchestre et superbement dirigées par Jean-Pierre Haeck et Aziyadé Breugelmans qui nous fait l’honneur d’une prestation. […] Une expérience unique pour ce concert dégustation grâce à la virtuosité des musiciens et au savoir-faire d’une jeune femme artisan-chocolatier: Natalie Rouxel. »
– RegArt, 19 avril 2017
« L’oeuvre [Le basson fait son cirque], fantaisiste et accessible, est fort bien écrite, remplie d’effets comiques, et tout le monde s’amuse, incluant les musiciens. » »
– La Presse+, Caroline Rodgers, Mars 2017
« Citius, altius, fortius! n’avait rien à envier au répertoire symphonique américain, avec des mélodies très accrocheuses et une savante exploitation de l’orchestre. »
– Steve Bergeron, La Tribune, 19 Fév. 2017
« Not only is this approach unique to a classical concert, but the composer himself is unique to the genre [Chocolats Symphoniques]. »
– Lancaster Online, 3 Sept. 2015
« Idées-cadeaux 2014: notre top 5. Pour les mélomanes dans votre vie: l’ensemble «Chocolats symphoniques» contient une trame sonore dont les quatre mouvements s’accordent chacun à un chocolat fin. »
– Journal Voir, 4 Déc. 2014
« A very cool idea and a fun experience! [Chocolats Symphoniques] »
– Global News, 14 Nov. 2014
« A new experience on a whole other level! [Chocolats Symphoniques] »
– CBC, Daybreak Montreal, Nov. 2014
« Une oeuvre amusante destinée à servir d’ambiance sonore pour présenter les musiciennes [Présentation concertante]. »
– Caroline Rodgers, La Presse, 24 Oct. 2014
« Goulet’s music is very listenable and narrative driven with this piece [Histoire de pêche] a story about the young boy who is befriended by Hemingway’s ‘Old Man and the Sea’ and what happens to him next. »
– Ontario Arts Review, 12 Août 2014
« Quant aux chocolats figurant en tête du menu, ils accompagnaient l’exécution d’une suite de Maxime Goulet [Chocolats Symphoniques] dont les quatre mouvements se veulent évocateurs d’autant de saveurs: caramel, noir, menthe et café. Sur scène, le jeune compositeur décrivait chaque pièce, dégustait un chocolat et invitait à en faire autant ceux et celles qui avaient acheté la précieuse petite boîte de quatre morceaux. Pour les chocolats, nous décernons 10 sur 10. Pour la musique: disons que, dans le genre langoureux ou sud-américain, c’est réussi. »
– La Presse, 7 Mai 2014
« À défaut de lever son verre, le public pourra déguster quatre petits chocolats pendant l’exécution de cette suite en quatre brefs mouvements [Chocolats Symphoniques] dont chacun évoque, promet-on, une saveur différente de chocolat: caramel, noir, menthe et café. »
– La Presse, 6 Mai 2014
« A chocolate tasting at the symphony: Maxime Goulet’s Symphonic Chocolates is a delicious sensory experience. »
– CBC, InTune, Fév. 2014
« Le plus original de la soirée fut la création de Maxime Goulet [Histoire de pêche]. […] Goulet a, une nouvelle fois, démontré qu’il n’avait peur ni de la mélodie, ni de la narration musicale. En cerise sur le gâteau, le clarinettiste Kornel Wolak se faisait acteur, dans une pièce habilement scénarisée. »
– Christophe Huss, Journal Le Devoir, 26 Fév. 2014
« Le compositeur Maxime Goulet s’est associé à Geneviève Grandbois pour créer Chocolats symphoniques, quatre mouvements orchestraux à écouter en dégustant des chocolats assortis ! L’idée pour le moins originale est soutenue par une musique habile, immédiatement plaisante, très cinématographique, dans la lignée de la musique légère. »
– Le Devoir, 14 Fév. 2014
« L’idée pour le moins originale est soutenue par une musique habile, immédiatement plaisante, très cinématographique, dans la lignée de la musique légère. [Chocolats Symphoniques]. »
– Christophe Huss, Le Devoir, 14 Fév. 2014
« Si vous n’avez aucune envie de sortir et que vous êtes à la fois mélomane et foodie, le coffret disque et chocolat du compositeur Maxime Goulet pourrait vous combler le soir de la Saint-Valentin. Dans le confort de votre foyer, pourquoi ne pas vous offrir l’expérience Chocolats Symphoniques, c’est-à-dire écouter une suite orchestrale en quatre mouvements tout en dégustant une boîte de chocolats Geneviève Grandbois, créés spécialement pour s’accorder à la symphonie? »
– Journal Voir, 6 Fév. 2014
« Durant la période de la Saint-Valentin, on a plus souvent tendance à associer le chocolat à une boîte en forme de cœur remplie de sucreries bon marché et achetée en solde à l’épicerie. Heureusement, il existe certaines initiatives qui réussissent à redonner ses lettres de noblesse au plus agréable des poisons: Chocolats symphoniques. »
– Mat.tv, 6 Fév. 2014
« Une idée saugrenue qui rend la musique classique plus festive. Chocolats symphoniques respire le bonheur. »
– Radio-Canada, PM, 27 Jan. 2014
« C’est le pari un peu fou qu’ont relevé la chocolatière Geneviève Grandbois et le compositeur Maxime Goulet en unissant leurs talents autour de la création de quatre mouvements musicaux en accord avec quatre chocolats spécialement conçus pour cette expérience audiogastronomique [Chocolats Symphoniques]. (…) À découvrir! »
– Journal Voir, 21 Jan. 2014
« Le public a participé avec enthousiasme à la dégustation et à l’écoute de Chocolats symphoniques. La habanera accompagnant le chocolat noir fut particulièrement apprécié. Nous étions sûr que nous entendrons d’avantage d’oeuvres de ce jeune compositeur de talent dans les années à venir. »
– Ontario Arts Review, 3 Août 2012
« Chocolats symphoniques devrait faire partie du répertoire courant de tous les orchestres. Maxime Goulet y combine des textures attrayantes et des couleurs orchestrales riches. L’oeuvre fait preuve d’une originalité exceptionnelle en combinant le sens du goût à celui de l’ouïe. Elle s’est avérée être un énorme succès au près des musiciens et du public. »
– Boris Brott, Août 2012
« What a Day has that element of genius – simplicity, modernity a sense of humour AND immediate connection with an audience! It was a joy to be part of its creation process. »
– Boris Brott, Mai 2011
« Bungalopolis sort vraiment des sentiers battus. […] Téméraire, risqué, audacieux, déjanté, nouveau, presque expérimental pourrait qualifier le spectacle. […] La mise en scène et la musique ont réussi un mariage obligé presque parfait. »
– Le Quotidien, Roger Blackburn, 24 Fév. 2011
« Il fallait beaucoup d’audace pour adapter cette œuvre en opéra-cabaret contemporain. Le défi a été brillamment relevé! […] [Bungalopolis est] une très belle façon de faire découvrir la musique contemporaine et l’art lyrique aux plus réticents geeks de ce monde! »
– Les Langues salles, 22 Fév. 2011
« Mêler bande dessinée et musique contemporaine? Quelle excellente idée! On recommande chaudement cette incursion unique dans l’univers déjanté de l’auteur de BD Jean-Paul Eid. Les concepteurs de Bungalopolis ont su capter avec humour l’esprit absurde du bédéiste. »
– Journal Métro Montréal , 17 Fév. 2011
« [Bungalopolis], sort réellement des sentiers battus, ceux de l’opéra, ceux de la musique, ceux du théâtre, dont elle retient cependant certains codes pour nous projeter dans l’univers déjanté de la bande dessinée. […] Rien de tout ça n’est sérieux: il faut saisir les allusions (fines ou pas fines) et se laisser emporter par ce joyeux mélange d’absurde, de ridicule, de comique. »
– Spécial du jour, 3 Fév. 2011
Entrevue avec Maxime Goulet et Dina Gilbert à propos de la Symphonie du jeu vidéo, par l’Orchestre symphonique de Québec. ICI Radio-Canada, 21 nov. 2018
Entrevue avec Maxime Goulet et Stéphanie Harvey à propos de la Symphonie du jeu vidéo, par l’Orchestre symphonique de Québec. ICI Radio-Canada, 1er nov. 2018
Entrevue avec Maxime Goulet et Stéphanie Harvey à propos de la Symphonie du jeu vidéo, par l’Orchestre symphonique de Québec. Le Soleil, 1er nov. 2018
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de la Symphonie du jeu vidéo, avec l’Orchestre symphonique de Québec. ICI Radio-Canada, 27 mars, 2018
Entrevue avec Maxime Goulet et la chef Dina Gilbert à propos de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal, pour le 375e Anniversaire de la ville de Montréal. TVA, 28 septembre, 2017
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal, pour le 375e Anniversaire de la ville de Montréal. Global News, 27 septembre, 2017
Entrevue avec Maxime Goulet et la chef Dina Gilbert à propos de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal, pour le 375e Anniversaire de la ville de Montréal. Radio-Canada, 29 septembre, 2017
Maxime Goulet présente son projet de Symphonie du jeu vidéo de Montréal avec la chef Dina Gilbert, pour le 375e Anniversaire de la ville de Montréal
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de sa musique pour le jeu vidéo Warhammer 40,000: Eternal Crusade. Global News, 13 novembre, 2015
Maxime Goulet présente la performance interactive en concert de sa musique pour le jeu vidéo Dungeon Hunter 2, au Sommet international du jeu de Montréal 2010 (MIGS).
Livestream #104 avec Maxime Goulet à propos de sa musique pour le jeu vidéo Warhammer 40,000: Eternal Crusade. 17 mars, 2017
Livestream #73 avec Maxime Goulet à propos de sa musique pour le jeu vidéo Warhammer 40,000: Eternal Crusade. 29 juillet, 2016
Livestream #33 avec Maxime Goulet à propos de sa musique pour le jeu vidéo Warhammer 40,000: Eternal Crusade. 18 septembre, 2015
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de sa carrière de compositeur de musique de jeu vidéo. Adrian Ellis, The Screen Composers Studio, 8 septembre, 2020.
« A mix of classic orchestral and world-music instrumentation that successfully adds emotional resonance [to the game Ancestors: The Humankind Odyssey]. »
– Gameinformer, Sept. 2019
« [Ancestors: The Humankind Odyssey has] a nice soundtrack that will play throughout your journey. »
– Game Tyrant, Sept. 2019
« You’ll want to enjoy [Ancestors: The Humankind Odyssey’s] soundtrack […] a sometimes dulcet but definitively jungle-themed music. »
– Dualshockers, Sept. 2019
« The music [to the game Ancestors: The Humankind Odyssey] does a good job of conveying the mood of the environment as well as adapting to whatever condition you may be in. »
– Worth Playing, Sept. 2019
« The music [to the game Ancestors: The Humankind Odyssey] is quite good as well with low-key orchestral tracks accompanying more peaceful moments and tribal drums kicking off during encounters with hostile predators. »
– New Game Network, Sept. 2019
« The music is pretty good, leading to a polished overall presentation [Brothers in Arms: Sons of War]. »
– God is A Geek, 22 Déc. 2014
« A music that brings out the best of every moment [Brothers in Arms: Sons of War]. »
– Kick My Geek, 18 Déc. 2014
« Excellent cinematic music »
« From the relentless action that drives this game forward to the triumphant, cinematic music that accompanies it, Brothers in Arms 2: Global Front is an impressively executed gaming experience »
– Slide to Play, Jan. 2014
« The musical score [Dungeon Hunter 2] is strong with an orchestral style. »
– Touchgen, 12 Jan. 2014
« The music in the game [Brothers in Arms 2: Global Front] is fantastic, as are the sound effects… working together so well at times that you could swear you are watching Saving Private Ryan. »
– Touch Gen, 12 Jan. 2014
« Dungeon Hunter 4 is one of the, if not the, best looking and sounding games in the iTunes store. This extends beyond the movies, too. In-game graphics are colorful and varied, while the music and even the voice acting can be a pleasure to listen to. […] Sound rating: 4.5 stars »
– 148 Apps, 11 Avr. 2013
« The excellent graphics, dramatic music and high-quality voice acting provide the potential for a hugely immersive experience that rivals computer and console games [Dungeon Hunter 4]. »
– Inside Social Games, 10 Avr. 2013
« As mind blowing as the graphics are, the soundtracks used in this game is no exception. The Amazing Spider-Man packs quite a bit of audio content that just ensures that players gains the best experience possible for their mobile device. Even without the help of your earbuds, the speakers on your device will still give you one of the best tunes from your favorite Spider-Man game and make your action-packed experience even better! »
– Apprina, Juil. 2012
« There are amazing tunes and voice actors in this app game that will just immerse you into the world of Spider-Man. The music is definitely fitting and each sound effect is carefully selected to give you the best experience possible. »
– GameTeep, 11 Juil. 2012
« The audio is great with good music and bustling city sounds [The Amazing Spider-Man]. »
– Unleash The Fanboy, 29 Juin 2012
« The music is powerful and effective [Dungeon Hunter 3]. »
– Game Zebo, 27 Déc. 2011
« Sound effects and music are great. Everything just blends together [Dungeon Hunter 3]. »
– App-Score, Déc. 2011
« The dark ambient music sets the games tone perfectly [Dungeon Hunter: Alliance]. »
– Movemodo, Oct. 2011
« The background music is suitably fantastical and dramatic [Dungeon Hunter: Alliance]. »
– App Modo, Oct. 2011
« The soundtrack is great [Dungeon Hunter: Alliance]! »
– Touch My Apps, 7 Oct. 2011
« The game music and sounds are fantastic [Order and Chaos]. […] The music is as epic as you can get on iOS. »
– App Critic, Mai 2011
« The music is technically a high quality [Order and Chaos]. »
– Digitally Downloaded, 14 Mai 2011
« The music is a particular standout [BackStab], […] it supports the look and feel with both emotion and atmosphere, giving the gaming a close to filmic quality. »
– Touch Gen, Avr. 2011
« Music that all make the experience feel much higher-budget than its actual price would suggest [BackStab]. »
– Calm Down Tom, 7 Avr. 2011
« The composers who wrote the music in this game are VERY talented. Everything sounds is great, from the sword sounds to the menu song [BackStab]. »
– Pocket Full of Apps, 30 Juin 2011
« The sound design has an extensive library ensuring that no sound effect or music track becomes repetitious, and the music sets the mood for every setting and battle effectively. […] Overall the soundtrack [Dungeon Hunter 2] is memorable and appropriately epic. »
– Game Dynamo, 9 Déc. 2010
« 5 stars for Sound. […] The visual/audio experience of Siberian Strike is fairly impressive all around. […] The sound track is very good, and brings a very classic war movie feel to the game. »
– Games Network, Avr. 2009
« Excellent soundtrack [Siberian Strike] — great bombastic tunes for the post-war setting. »
– IGN Entertainment, Avr. 2009
« With its neat 3D graphics and smart audio, Castle Frenzy is a great example of a simple, fun and funny castle defence game »
– Pocket Gamer, 30 Nov. 2009
« Much like the visuals, the audio presentation in the game [Ghost Mansion Party] is actually well done. There are plenty of spooky musical tracks and haunted sound effects to keep things interesting. »
« The various musical tracks […] is more than adequate for a game of this nature. »
– Nintendo Life, 28 Oct. 2009
Entrevue avec Maxime Goulet à propos de son concert de musique de film lors des Rendez-vous Québécois du Cinéma. 7 mars, 2013
« The music [Hidalgo] is emotional and expansive, redolent of western wide open spaces and grand vistas. It demonstrates the range of this talented young composer. »
– Ontario Arts Review, 8 Août 2013
« [Running is] melodic, approachable and fun. »
– Ontario Arts Review, 8 Août 2013
« The film [Hidalgo] is a Western, so the broad melody and prominent strings and horns are conventions familiar to anyone who has listened to film music. It is, however, exactly what the scene required. […] I think Maxime Goulet is a major talent. He should have a long and successful career writing music for films or TV. »
– Composer’s Notebook, 8 Août 2013
« The Running music changes constantly and is often motoric, sometimes employing gestures and conventions which have been used in music for animation for decades. This is a serious piece, however, in the sense that it is extremely detailed and worked out with a clear understanding of developments in new music. It’s a very convincing score which would bear listening to again. »
– Composer’s Notebook, 8 Août 2013
« La bonne humeur était au rendez-vous avec 21, collaboration particulièrement réussie entre Yann Ben Alluch et Maxime Goulet, le rythme et les punchs y jouant assurément un rôle essentiel. »
– Clavier bien tempéré, 26 Fév. 2013